Dans la Ville Panique, un phénomène nouveau s'intensifie, c'est la protection des décharges publiques par les forces armées. Face au pillage systématique et la raréfaction des matériaux de construction, les stockages où l'on trouve encore quelques matières plastiques sont pris d'assaut par les habitants. Armée et milices privées ont vite saisi l'opportunité de surveiller les entreprises de retraitement des déchets ainsi que les décharges à ciel ouvert. Une protection est mise en place moyennant un droit à l'exploitation du site pouvant atteindre 40% de la surface.
